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CAMP ADAPTIVE ACTIONS

AA-Gabarit-CS

Chaque jour, du 8 au 17 novembre, de 11 h 00 à 18 h 00

Dans l’atrium du pavillon de la bibliothèque McConnell, situé devant la galerie.
1400, boul. de Maisonneuve O. Montréal (Québec) H3G 1M8

Adaptive Actions, dont l’initiateur est Jean-François Prost, a vu jour à Londres en 2007. Par des interventions et des actions collectives et individuelles AA procède par appel à la participation et explore, avec la participation de divers intervenants et du public, la transformation du lieu de travail et des espaces privé et public. Venez participer à des ateliers, des discussions et des présentations.

www.adaptiveactions.net
info@adaptiveactions.net

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PROGRAMME DU CAMP ADAPTIVE ACTIONS

Adaptive Actions (AA) est à la recherche de nouvelles contributions pour le site Web, la prochaine publication et pour alimenter la réflexion, les discussions et les présentations au Camp AA à l’Université Concordia. Enregistrez-vous comme acteur sur le site Web ou au Camp et présentez directement une action existante ou envisagée, réalisée par vous ou autrui.

 

LUNDI 8
Ouverture officielle
Camp ouvert de 11 h 00 à 18 h 00

MARDI 9
Camp ouvert de 11 h 00 à 18 h 00

MERCREDI 10 ET JEUDI 11
DÉRIVE WEB
sur le thème des adaptive actions
de 10 h 00 à 18 h 00

Ensemble, nous allons naviguer sur le Web pour trouver des exemples engageants, pertinents, atypiques ou simplement amusants sur des adaptations urbaines et spatiales. Progressivement et à travers ce processus, sans résultat connu, nous allons amasser, imprimer et présenter des informations et des idées (en images et en mots) dans l’espace du Camp AA, rassemblant des éléments apparemment sans rapport venus des confins d’Internet.

Réservation nécessaire, places limitées.
Vous pouvez réserver une matinée, une après-midi ou une journée entière. Apportez votre propre ordinateur portable et un accès WIFI sera fourni. Lunch offert à tous les participants.

Veuillez réserver auprès de Marina Polosa

MIDI-CAUSERIES
dans le cadre de la Dérive Web

Mercredi 10, 12 h 30 – 13 h 30
La Tour de la Bourse
par Aude Moreau

Jeudi 11, 12 h 30 -13 h 30
Fragments d’actions pour adaptations créatives
par Marie-Pier Boucher et Jean-François Prost

VENDREDI 12
Camp ouvert de 11 h 00 – 18 h 00

5 à 7 au camp
Un espace de production, présentations et actions
Lancement de la publication Adaptive Actions – Madrid

avec la participation d’Aurélie Dubois (Experiment#3 : Les Nuées Ardentes, c’est « Destroy »), Nuria Carton de Grammont Lara (actions à Mexico DF) et Adaptive Actions

Adaptive Actions – Madrid
Au Camp Adaptive Actions situé dans la gare de train Atocha de Madrid pendant un mois au cours de la biennale 2010 de Madrid Abierto, une publication prenait forme. Plusieurs personnes ont simultanément édité le contenu existant et entrant (sur place et via le Web) et produit un livre publié récemment : 148 pages comprenant deux sections : une présentation de plusieurs adaptive actions, et une section spécifique à la programmation de Adaptive Actions à Madrid. La publication présente 36 adaptive actions avec images et commentaires, des ateliers, un entretien avec le philosophe et théoricien Brian Massumi, et un texte de José Luis Corazón Ardura . En espagnol et en anglais. Comité de publication : Marie-Pier Boucher, Melgar Gema, Frank Nobert, Jean-François Prost

Publications AA
Chaque volet de Adaptive Actions est une version revisitée du projet qui se poursuit par la production d’un livre dans lequel sont rassemblés les actions, les commentaires et les textes soumis. De ce processus émergent de nouvelles idées pour des actions futures.

SAMEDI 13
Camp ouvert de 11 h 00 à 18 h 00

12 h 30 – 13 h 30
Lunch offert au camp

13 h 30
CONVERSATION
Sur la base d’actions soumises durant la Dérive Web, en ligne et au Camp
Animée par Marie-Pier Boucher et Jean-François Prost

L’événement Adaptive Actions (AA) fonctionne comme un dépôt d’actions à source ouverte. Il suggère des itérations et des opérations transversales, de nouvelles formes de connexions et de relationalités. AA invite à la résistance créative par l’activation de divers modèles d’adaptation. En table ronde, nous discuterons des actions soumises et de leur potentiel d’adaptabilité, des façons dont elles arrivent à adapter une situation et à résister de façon créative. Les participants traiteront tant de leurs actions que de celles des autres, afin de mettre en lumière les contraintes principales auxquelles ils ont eu à faire face et les stratégies utilisées pour reconfigurer ces dernières, de manière à ce qu’elles deviennent des moteurs de création, des points de fascination et d’activation micropolitique.

Participants invités : Patrick Harrop, Luc Lévesque, Javiera Ovalle, Patrice Loubier

DIMANCHE 14
Camp ouvert de 11 h 00 à 18 h 00

LUNDI 15
Camp ouvert de 11 h 00 à 18 h 00

12 h 30 – 13 h 30
Lunch offert au camp

13 h 30
Atelier AA
Hétéropolis
par Jean-François Prost

L’atelier abordera la réalité actuelle de villes qui, comme Montréal, sont principalement constituées d’une multitude de minorités. L’atelier portera une attention particulière au paradoxe suivant: puisque les villes sont de de plus en plus hétérogènes, certains secteurs très homogènes semblent persister, comme par exemple les ghettos. En fait, on observe à Montréal, comme dans d’autres villes, une séparation marquée, voire radicale, entre les classes sociales et les diverses communautés ethniques et culturelles. Certaines minorités s’éloignent de plus en plus du centre et deviennent dissimulées dans des zones périphériques et des cul-de-sac. L’atelier se concentrera sur l’invisibilité croissante de la multiplicité dans les centres-ville (lieux de pouvoir, d’échange et d’abondance) et également dans certains quartiers. L’objectif de l’atelier sera de nommer et de révéler à Montréal, et éventuellement à d’autres villes, les formes et lieux d’homogénéisation sociale et culturelle. Ces réflexions serviront à développer, prolonger et reconfigurer une action amorcée, action qui vise à hybrider l’existant et favoriser des échanges, des mixités et des diversités urbaines en vue d’une future ville divergente.

Participants invités : Cynthia Hammond, Shauna Janssen, Thomas Strickland

Réservation préférable auprès de Marina Polosa

MARDI 16
Camp ouvert de 11 h 00 à 18 h 00

MERCREDI 17
Camp ouvert de 11 h 00 à 18 h 00

12 h 30
Dé/programmer
Marche par l’atelier Syn-

Cette marche urbaine prend comme canevas de travail le concept de dé-programmation : une idée d’abord associée, dans sa dimension plus péjorative, à une déstructuration ressentie depuis quelques années dans ce secteur parfois «vampirisé» qui inclut l’Université Concordia, notamment avec la fermeture du Forum en 1996 et des années subséquentes de paralysie immobilière. En dissonance avec l’interprétation habituelle du programme architectural, ce concept pourrait-il plutôt être exploré par le biais d’actions individuelles et collectives qui marquent une différence et introduisent de l’exception ? Manque d’ancrages et forte mobilité étudiante, densité critique de population et brassages culturels adaptés au high rise : autant d’ingrédients actifs pour alimenter cette réflexion. La marche explorera quelques réalités spatiales ou minoritaires susceptibles d’entrer en interaction avec des jeux d’influence et des visions d’ensemble qui se dessinent pour l’avenir du secteur.

Point de rencontre au CAMP, situé dans l’atrium du pavillon de la bibliothèque McConnell, devant la galerie, 1400 boul. de Maisonneuve O.

Avec la collaboration de DARE-DARE

Collaborateurs – Camp Adaptive Actions à l’Université Concordia :
Marie-Pier Boucher, Aude Moreau, Gema Melgar et Jean-François Prost

Renseignements supplémentaires à venir.

 

BIOGRAPHIES DES PARTICIPANTS

Marie-Pier Boucher est étudiante au Doctorat au département d’art, d’histoire de l’art et d’études visuelles à l’Université Duke. Elle détient un baccalauréat ainsi qu’une maîtrise en sciences de la communication de l’Université de Montréal. Ses recherches actuelles visent à rendre opératoires les théories de la complexité et les pratiques en bio et neurosciences à l’intérieur de pratiques spatiales et architecturales. Elle collabore à Adaptive Actions en tant que théoriste et co-éditrice depuis 2009. Elle est également éditrice invitée pour InfleXions, une revue en ligne d’accès libre dédiée à la recherche-création. Ses résidences de recherche incluent: SymbioticA, Centre d’Excellence en Arts Biologiques, University of Western Australia, Perth (2006) et Max Planck Institute for the History of Science, Berlin, Allemagne (2010). Elle a présenté ses recherches dans divers pays dont le Canada, l’Angleterre, l’Allemagne, la Hollande, la France, l’Espagne et l’Australie. Elle est boursière de la Visual Studies Initiative (Duke University) et du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada.

Aurélie Dubois est une artiste multidisciplinaire montréalaise. Elle poursuit actuellement un baccalauréat en beaux arts de l’Université Concordia à Montréal. Elle obtient, en 2008, un diplôme d’études collégiales en arts plastiques du Cégep du Vieux Montréal. En 2008, elle réalise sa première exposition solo, Aurélie, Peintures, au Canif du Cégep du Vieux Montréal. De plus, elle a participé à plusieurs expositions de groupe dont Place en mars 2010, une exposition de sculptures et Consanguin. Fatal. Velu. en septembre 2010. Elle est aussi membre d’un collectif d’artistes interdisciplinaires Internet is Dead.

Jean-Maxime Dufresne est un artiste diplômé en architecture et en multimédia. Sensibles aux pratiques spatiales, tout en problématisant le recours à la médiation technologique, ses recherches s’intéressent aux mutations qui façonnent nos territoires urbains ainsi qu’à leurs réalités sociales. Le processus architectural y est reconsidéré dans une production matérielle associée à un travail d’enquête et à la création d’expériences provisoires, mélangeant principalement installation, vidéo, son et manœuvre urbaine. Sa dernière proposition intitulée L’agence regroupait une série d’entretiens avec différents acteurs du milieu culturel à Montréal sur des notions de spatialité partagée, contestée ou réinventée. Son travail individuel et en collaboration avec l’artiste Virginie Laganière ou l’atelier SYN- a été présenté au Canada (Skol, Optica, Fonderie Darling) et à l’étranger (Interstices urbains temporaires / RDS, ISCRA, aaa, Paris, France ; Actions : What You Can Do With the City, CCA / Graham Foundation, Chicago, É-U ). Depuis 2007, il siège au conseil d’administration du centre DARE-DARE et oeuvre aux programmes éducatifs du Centre Canadien d’Architecture à Montréal.

Cynthia Imogen Hammond est professeure en histoire de l’architecture au département d’histoire de l’art de l’Université Concordia. Elle a obtenu son doctorat en 2002 dans le cadre du programme interdisciplinaire de doctorat en sciences humaines de l’Université Concordia. Après avoir enseigné dans plusieurs universités canadiennes, elle a obtenu une bourse postdoctorale du Conseil de recherches en sciences humaines pour poursuivre ses recherches à l’École d’architecture de l’Université McGill (2004-2006). Son livre sur l’identité sexuelle, la mémoire publique et l’environnement bâti à Bath, en Angleterre, sera publié par Ashgate en 2011. Outre ses recherches et publications sur l’architecture, les villes et les paysages, Hammond conserve une pratique interdisciplinaire en atelier, qui comprend l’art public, la peinture et le dessin, le son, et, plus récemment, la vidéo numérique. Sa dernière exposition collective, feminist practices, a été présentée dans neuf lieux, et la tournée s’est terminée à l’Université de Melbourne. On trouve plus de détails sur ses publications, ses recherches et sa production artistique à www.cynthiahammond.com et à www.pouf.ca

Patrick Harrop est architecte et professeur d’architecture à l’Université du Manitoba. Il occupe actuellement la Chaire en Études de la Maçonnerie (CMIR) en plus d’être chercheur actif au CAST (Center for Architectural Structures and Technology). Il est spécialisé dans les domaines du design et des nouvelles technologies et plus spécifiquement au niveau du piratage électromécanique, de la fabrication numérique et de la théorie contemporaine. Il enseigne actuellement les studios d’études supérieures en architecture temporelle, les stratégies daidala, la théorie contemporaine, ainsi que l’informatique/fabrication avancée. Professeur Harrop a reçu son baccalauréat en architecture de l’Université Carleton et son diplôme post-professionel M.Arch du programme d’histoire et de théorie de l’Université McGill à Montréal. Son travail actuel poursuit l’objectif de développer de nouvelles approches pour les technologies intégrées et interactives à partir de l’utilisation de structures abandonnées. Il s’intéresse actuellement au développement d’interactivités intégrés à l’intérieur de structures architecturales existantes. Une partie importante de son travail se concentre à chercher des manifestations de systèmes autopoiétiques où l’immédiateté et la “responsivité” sont traduites dans des comportements et environnements complexes et autonomes.

Shauna Janssen est doctorante en sciences humaines au Centre d’études interdisciplinaires sur la société et la culture de l’Université Concordia. Son travail doctoral porte sur la documentation de la réoccupation et la réutilisation adaptative à des fins culturelles de lieux postindustriels abandonnés. Sa recherche évolue à travers et entre les disciplines de l’histoire de l’architecture, des études de la performance et de l’histoire orale, et, plus largement, exploite les rapports entre la théorie de la ruine et les espaces urbains contestés, les notions de l’interstitiel, de la fragmentation et de la théorie spatiale. À travers ces domaines, elle cherche à définir les façons dont la réoccupation des ruines de sites postindustriels et d’architecture historique – leur réutilisation et l’appropriation/réappropriation de ces espaces – contribue aux récits architecturaux et sociohistoriques d’une ville. En plus de ses études, Shauna Janssen a récemment fondé Urban Occupations Urbaines (UOU), une plateforme pour des engagements créatifs dans des environnements urbains en transition et en détérioration. Le site en question actuellement est Griffintown, un quartier industriel historique de Montréal. Pour plus de renseignements à propos de UOU, visitez www.urbanoccupationsurbaines.org.

Luc Lévesque est architecte, professeur en histoire et théorie de l’architecture à l’Université Laval (Québec), ses recherches récentes portent sur les ‎potentialités d’une approche interstitielle du paysage urbain et de l’urbanisme. En 2000, il participe à la création de l’atelier d’exploration urbaine SYN- au sein duquel il a réalisé diverses recherches et interventions [www.amarrages.com]. Comme membre du comité de rédaction de la revue d’art actuel Inter [www.inter-lelieu.org], Luc Lévesque a dirigé plusieurs dossiers sur l’architecture, le paysage et les pratiques urbaines.

Patrice Loubier est professeur d’histoire de l’art à l’Université du Québec à Montréal. S’intéressant aux formes contemporaines de la création, il a publié de nombreux textes dans des périodiques, des ouvrages collectifs et des catalogues d’exposition, et travaille en particulier sur l’art d’intervention et les pratiques furtives. Il a participé aux activités de plusieurs centres d’artistes au Québec, de même qu’aux comités de rédaction des revues ESSE et Inter. Avec Anne-Marie Ninacs, il est à l’origine des Commensaux, programmation spéciale du Centre des arts actuels Skol à Montréal, en 2000-2001. À titre de commissaire, il a co-signé quelques expositions, dont la première édition d’Orange, en collaboration avec Mélanie Boucher et Marcel Blouin (Saint-Hyacinthe, 2003), la Manif d’art 3 de Québec avec André-Louis Paré (2005) et l’événement Espace mobile à VOX (Montréal) avec Marie-Josée Jean.

Aude Moreau vit et travaille à Montréal. Elle a présenté ses projets, au Québec, en France, aux Etats-Unis et au Luxembourg. Parmi ses plus récentes expositions individuelles, on note Faire le vide (centre d’exposition Plein sud, 2010), Tirer le ciel (Casino Luxembourg forum d’art contemporain, 2009), Tapis de sucre 3 (Fonderie Darling, 2008). Elle a également participé à des expositions collectives : Art souterrain – Nuit blanche de Montréal (2010), La Biennale Nationale de Sculpture Contemporaine de Trois-Rivières (2010), et Orange événement d’art actuel de Saint-Hyacinthe (2006).

Jean-François Prost artiste-architecte ; il s’intéresse aux nouveaux territoires urbains de recherche – lieux négligés et sur contrôlés amenant a questionner matière urbaine, par de nouvelles pratiques alternatives. Acte de résistance constructive, d’état d’esprit, de dispositif pour énoncer ou échanger les idées… Prost vient réactiver et promouvoir l’engagement social, et défendre la présence de l’art partout, à tout moment. Son travail individuel et en collaboration (avec l’atelier SYN-, AA…) a été présenté à divers événements au Canada et à l’étranger : la troisième biennale de Montréal, Liverpool Biennial 06, au Centre Canadien d’Architecture et tout dernièrement à Madrid Abierto 2010. La plateforme ‘Adaptive Actions’ initiée à Londres par Prost en 2007 fera l’objet d’une série d’interventions-expositions (2010-11) à Montréal et dans la ville de Miami. Membre de 2000-2009 au Conseil d’administration de DARE-DARE centre d’art multidisciplinaire maintenant localisé dans un bureau mobile, il travaille sur le projet et la prochaine publication Dis-location consacré aux pratiques émergentes. www.jean-françoisprost.blogspot.com

Javiera Ovalle Sazie travaille différentes approches de déplacement de l’écriture qu’elle pratique en espace urbain d’une forme active. Pour ce faire elle travaille l’installation, la photo, la vidéo et le recyclage. Les voyages et l’errance lui procurent les surfaces sur lesquelles sa curiosité prend son essence et son besoin d’action. En 2006, elle a fait une résidence à la Fonderie Darling, Montréal. En 2008, elle a participé à la VIème biennal du Musée des Beaux-Arts de Santiago du Chili. Elle a présenté ses œuvres à Boston, Barcelone, Berlin, New York, Paris, Valparaiso, Santiago du Chili, Montréal ainsi qu’au Brésil, en Argentine et à Cuba.
Née au Chili, elle obtient un diplôme en arts visuels à l’Université Catolica de Valparaiso et un baccalauréat en arts visuels à l’Université de Playa Ancha de Valparaiso. Elle complète présentement une maîtrise en Studio Arts, à l’Université Concordia, Montréal, Canada.

Thomas Strickland est doctorant à l’École d’architecture de l’Université McGill. Spécialiste de l’architecture des établissements de santé canadiens, il explore la tension entre les récits de divertissement, de flexibilité et d’émancipation dans l’architecture de la fin du modernisme, ainsi que la nécessité d’une plus grande rigueur et innovation dans la profession médicale. Il a reçu une subvention de recherche du Centre Canadien d’Architecture en 2009 et a été étudiant au programme de formation et de recherche Health Care Technology and Place, initiative de recherche stratégique des IRSC à l’Université de Toronto. Activement engagé dans la communauté du design, Strickland a travaillé avec de nombreuses agences d’architecture primées au Canada, est l’ancien président de la Visual Arts Weeks Society, de Calgary, et ses textes sont publiés régulièrement dans des revues d’art contemporain et d’architecture. Il est cofondateur de l’initiative de recherche en art et architecture Pouf ! et a reçu des subventions du Conseil des Arts du Canada, de l’IRAC et de la Calgary Foundation pour son travail de commissaire.