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LES TRACES MATÉRIELLES, LA TEMPORALITÉ ET LE GESTE EN ART CONTEMPORAIN

2012_matérielles_événements_1

VISITE COMMENTÉE DE L’EXPOSITION
Avec la commissaire Amelia Jones
Le mardi 26 février à 18 h
À la Galerie, en anglais
ENTRÉE LIBRE

Amelia Jones est professeure et titulaire de la Grierson Chair in Visual Culture à l’Université McGill à Montréal. Ses plus récentes publications incluent des essais majeurs sur Marina Abramović (dans The Drama Review), l’art et le commissariat féministes et les histoires de la performance. Ses publications comptent Feminism and Visual Culture Reader (2003; nouvelle édition parue en 2010), Self Image: Technology, Representation, and the Contemporary Subject (2006), Seeing Differently: A History and Theory of Identification and the Visual Arts et Perform Repeat Record: Live Art in History (co-dirigé avec Adrian Heathfield, en 2012). Elle a commissarié des expositions et des programmes traitant de l’art féministe, de la culture visuelle queer, de la foi et de l’identité dans la culture visuelle, dont son exposition phare Sexual Politics, en 1996, au UCLA Hammer Museum.

 

The Two Gullivers, Star’s Anatomy, 2011. Détail/Detail, Nr 9.

The Two Gullivers, Star’s Anatomy, 2011. Détail, Nr 9.

STAR’S ANATOMY – installation performative
de Flutura & Besnik Haxhillari
(THE TWO GULLIVERS)
6 au 16 mars de 12 h à 17 h
+
Avec événements spéciaux le samedi 9 mars et le samedi 16 mars de 12 h à 17 h.

Galerie Joyce Yahouda
Édifice Belgo
372 Ste-Catherine Ouest, espace 516
www.joyceyahoudagallery.com

En lien avec les dessins exposés dans Les traces matérielles, Flutura & Besnik Haxhillari (The Two Gullivers) présentent l’installation performative Star’s Anatomy à la Galerie Joyce Yahouda du 6 au 16 mars 2013.

 

Heather Cassils, Becoming an Image, 2012. Documentation photo d’une performance/Photodocumentation of performance. Photo: Heather Cassils et/and Eric Charles. Avec l’aimable permission de/Courtesy of Ronald Feldman Fine Arts, New York.

Heather Cassils, Becoming an Image, 2012. Documentation photo d’une performance. Photo : Heather Cassils et Eric Charles. Avec l’aimable permission de Ronald Feldman Fine Arts, New York.

DANS LE CADRE DU FESTIVAL EDGY WOMEN

PERFORMANCE
de HEATHER CASSILS dans le cadre de l’événement GAME ON AU CHAT BLEU
Le samedi 9 mars de 19 h à 22 h

Club de boxe Chat bleu
435 Beaubien Ouest, 4e étage (coin Durocher)
Billets (20$ – 15$) & renseignements : 514.393.3771
http://www.edgywomen.ca

Heather Cassils, artiste multidisciplinaire et culturiste basée à Los Angeles, présente The Shape of Things to Come (samedi soir seulement). Dans cette œuvre basée sur l’endurance physique, Cassils s’interroge sur la violence comme forme de divertissement en explorant les relations entre art, photographie, documentation et vérité.

 

Suzy Lake, Choreographies of the Dotted Line, 1976. Image tirée de la vidéo/Video still. Avec l'aimable permission de l'artiste et de Vtape, Toronto/Courtesy of the artist and Vtape, Toronto.

Suzy Lake, Choreographies of the Dotted Line, 1976. Image tirée de la vidéo. Avec l’aimable permission de l’artiste et de Vtape, Toronto.

PROJECTION
Oeuvres performatives des années 1960 et 1970
Le dimanche 10 mars à 15 h
À la salle J.A de Sève, LB-125
1400, boul. de Maisonneuve Ouest
ENTRÉE LIBRE

La documentation de l’activation des notions de matérialité et de trace gestuelle dans les œuvres d’art contemporaines présentées au sein de l’exposition Les traces matérielles repose sur une longue et importante histoire de stratégies artistiques. Les œuvres présentées dans le cadre de ce programme illustrent l’intérêt pour des explorations de la matérialité du corps en écho à celle des modes de production artistique qui ont caractérisé les créations hybrides faisant appel au corps et aux médias à spécificité temporelle dans les années 1960 et 1970. Durant cette période, des artistes vont multiplier les expérimentations avec le film (habituellement en formats super-8 ou 16 mm, bon marché), la caméra vidéo portative (à laquelle les artistes auront accès à la fin des années 1960) et les structures d’installation, le plus souvent en utilisant leur propre corps et propulsant ces diverses techniques et formes de présentation dans des directions permettant un accès du public à la compréhension des processus de mise en scène et de création artistique.

Hans Namuth: Jackson Pollock (1951), 10 min 14 s
Bruce Nauman: Thighing (Blue) (1967), 4 min 36 s
Carolee Schneeman: Plumb Line (1968-1971), 14 min 58 s
Valie Export: Body Tape (1970), 3 min 58 s
Lynda Benglis: On Screen (1972), 7 min 45 s
Mako Idemitsu: What a Woman Made (1973), 10 min 50 s
Paul McCarthy: Whipping the Wall with Paint (1975), 2 min
Suzy Lake: Choreographies of the Dotted Line (1976), 13 min
Pippilotti Rist: I’m Not the Girl Who Misses Much (1986), 7 min 45 s
DURÉE CUMULATIVE APPROXIMATIVE : 75 min

 

Heather Cassils, Becoming an Image, 2012. Documentation photo d’une performance/Photodocumentation of performance. Photo: Heather Cassils et/and Eric Charles. Avec l’aimable permission de/Courtesy of Ronald Feldman Fine Arts, New York.

Heather Cassils, Becoming an Image, 2012. Documentation photo d’une performance. Photo : Heather Cassils et Eric Charles. Avec l’aimable permission de Ronald Feldman Fine Arts, New York.

RENCONTRE
Avec l’artiste Heather Cassils en collaboration avec FEM.ME.S: Feminist Media Studio
Le lundi 11 mars à 18 h
À la Galerie, en anglais
ENTRÉE LIBRE

Heather Cassils est originaire de Montréal et vit et travaille actuellement à Los Angeles. En 1996, elle obtient un baccalauréat en beaux-arts du Nova Scotia College of Art And Design et en 2002, une maîtrise en beaux-arts du California Institute of the Arts. Très proche de son mentor Michael Asher, Cassils est inspirée par l’histoire de Womanhouse, l’héritage de l’art conceptuel et la critique des institutions. Elle est membre fondatrice du groupe de performance Toxic Titties, basé à Los Angeles.

 

Alexandre David,Sans titre/Untitled, 2013. oeuvre in situ/In situ installation. Galerie Leonard & Bina Ellen Art Gallery, 2013.

Alexandre David, Sans titre, 2013. oeuvre in situ. Galerie Leonard & Bina Ellen, 2013.

CONVERSATION
Entre Amelia Jones, Barbara Clausen, et Krista Geneviève Lynes
Le mardi 9 avril à 18 h
À la Galerie, en anglais
ENTRÉE LIBRE

Cette conversation entre Barbara Clausen, Amelia Jones et Krista Lynes portera sur le « statut » de la trace en art contemporain et sur des questions relevant des processus élaborés dans l’exposition Les traces matérielles, la temporalité et le geste en art contemporain. Des questions se rapportant à la mise en espace des œuvres dans la galerie par rapport aux récits mis de l’avant par la commissaire et les divers rapports créés entre les artistes, les œuvres et l’auditoire seront abordés.

Barbara Clausen est commissaire indépendante et professeure substitut au Département d’histoire de l’art de l’Université du Québec à Montréal. Depuis la fin des années 1990, elle a travaillé pour la Dia Art Foundation de New York, pour DeAppel à Amsterdam et pour la Documenta 11 de Kassel. Elle a été commissaire de l’exposition et de la série de performances After the Act en 2005 pour le MUMOK à Vienne et co-commissaire de la série de performances et de conférences wieder und wider: performance appropriated en 2006. En 2010-2011, elle a été co-commissaire de Push and Pull, manifestation conjointe du MUMOK et du Tanzquartier Wien, en collaboration avec la Tate Modern de Londres. En 2011, Barbara Clausen a été commissaire de Down Low Up High, Performing the Vernacular pour Argos à Bruxelles. Son exposition des œuvres de Babette Mangolte pour VOX, Montréal, continue jusqu’au 20 avril. Clausen est l’auteur de nombreux articles sur l’art de la performance, des pratiques performatives et le commissariat de la performance. Elle est l’éditeur de After the Act: The (Re)Presentation of Performance Art (2006).

POUR DE PLUS AMPLES RENSEIGNEMENTS
www.histoiredelart.uqam.ca/Pages/clausen_barbara.aspx

Amelia Jones est professeure et titulaire de la Grierson Chair in Visual Culture à l’Université McGill à Montréal. Ses plus récentes publications incluent des essais majeurs sur Marina Abramović (dans The Drama Review), l’art et le commissariat féministes et les histoires de la performance. Ses publications comptent Feminism and Visual Culture Reader (2003; nouvelle édition parue en 2010), Self Image: Technology, Representation, and the Contemporary Subject (2006), Seeing Differently: A History and Theory of Identification and the Visual Arts et Perform Repeat Record: Live Art in History (co-dirigé avec Adrian Heathfield, en 2012). Elle a commissarié des expositions et des programmes traitant de l’art féministe, de la culture visuelle queer, de la foi et de l’identité dans la culture visuelle, dont son exposition phare Sexual Politics, en 1996, au UCLA Hammer Museum.

POUR DE PLUS AMPLES RENSEIGNEMENTS
www.mcgill.ca/ahcs/people/faculty/jones

Krista Geneviève Lynes, titulaire de la chaire de recherche du Canada en études des médias féministes, est professeure adjointe au département d’Études en communications de l’Université Concordia. Elle dirige aussi le Feminist Media Studio, qui appuie la recherche critique et créative en art, militantisme et médias expérimentaux féministes. Elle étudie la façon dont les arts médiatiques, les documentaires et le cinéma indépendant contemporains représentent la complexité des luttes politiques féministes en cette ère de mondialisation. Son travail paraît dans de nombreuses revues, dont Signs, Theory & Event et Third Text. Son premier livre, Prismatic Media, Transnational Circuits: Feminism in a Globalized Present, a été publié récemment chez Palgrave Macmillan (2012).

POUR DE PLUS AMPLES RENSEIGNEMENTS
coms.concordia.ca/faculty/lynes.html